Et voilà ! Les Imaginales, c'est fini, et comme tous les ans c'était un formidable bouillon d'imaginaire, de créativité, de folie douce ou furieuse mais toujours jubilatoire. Plaisir de retrouver les lecteurs, les organisateurs et modérateurs qui mènent le bal (Stéphanie Nicot, Bernard Visse, Catherine Pano, Marion Bailly, Flavie Najean, Sandrine Brugot-Maillard, Jean-Luc Rivera, Anne Besson, Christophe de Jerphanion, Carole Ecoffet, Sylvie Miller et tant d'autres), les amis auteurs/illustrateurs/éditeurs (Charlotte Bousquet, Carina Rozenfeld, Marie-Charlotte Delmas, Mélanie Delon, Danielle Martinigol, Pierre Bordage, Pierre Pevel, et ceux dont j'ai fait la connaissance : Magali et Menolly, Anne Fakhouri, Loïc Henry, Georgia Caldera, Jean-Luc Bizien, Christopher Priest, Juan Miguel Aguilera, Leandro Avalos Blancha), dans ce qui est devenu un vrai rendez-vous que je ne manquerais pour rien au monde.
Les Imaginales, j'y ai été invité pour la première fois il y a cinq ans, quelques mois après la publication de mon premier roman. C'est l'une de mes toutes premières rencontres avec les lecteurs. C'est un peu la terre où je suis né en tant qu'auteur. A chaque fois que j'y reviens, j'ai l'impression de rentrer à la maison.
Mais cette année plus encore que les autres restera gravée en moi, car j'avais la chance et l'honneur d'être l'invité "Coup de Coeur". En pratique, cela s'est traduit par un agenda survitaminé entre tables rondes, rencontres, interventions, et - gloups ! - interviews parfois en direct. J'avais un peu peur que ce marathon soit épuisant ; au contraire, j'en ressors chargé d'énergie et d'idées, plus motivé que jamais pour la suite.
Alors, une fois encore, merci aux Imaginales d'exister : grâce à elles, à la fin du mois de mai tous les ans, le monde est un peu plus magique !